UN JOUR, UN ARBRE… POINT DE SITUATION

Comme promis : La municipalité a massivement planté dans toute la commune à l’occasion de l’opération un jour, un arbre.

En janvier 2023, 500 arbres avaient été distribués aux Boucains à l’occasion des vœux du maire où Richard Mallié avait donné le coup d’envoi de l’opération qui visait à planter massivement dans tout Bouc Bel Air pour enrichir la biodiversité. Depuis, des centaines d’arbres ont été planté. Une démarche au gout des Boucains qui ont fait part de retours très positifs. La commune va donc continuer à planter de nouveaux sujets dès qu’elle en aura l’occasion.

Point de situation : Trois Pigeons - Quartier la Salle - Plein Soleil - Plein Soleil - Parking village - Belvédère

Les 146 jeunes arbres des Trois pigeons seront exclusivement arrosés d’eau de pluie récupérée sur place ainsi que sur des bâtiments municipaux.

Comment arroser les 146 arbres plantés aux Trois pigeons pendant les trois ou quatre premières années de leur vie ? Réponse : en récupérant de l’eau de pluie. Sur place, deux citernes pouvant stocker 20 m3 d’eau ont été installées ainsi qu’une structure souple, sous les citernes, pour récupérer les précipitations. Mais chaque arbre ayant besoin d’environ 80 litres par semaine, soit 11 m3 pour l’ensemble, cela ne suffira pas. Une installation innovante Il va donc également falloir récupérer de l’eau de pluie sur d’autres sites. 1 500m² des toits municipaux de la ville alimenteront, grâce à leurs gouttières, 12 citernes dont le contenu sera ensuite transporté en camion jusqu’aux Trois pigeons. Une pompe alimentée en énergie par des panneaux photovoltaïques assurera la distribution de l’eau au pied de chaque arbre. Le coût de cette installation innovante est en grande partie financé par le Département. A l’issue des trois premières années, la quantité d’eau pour l’arrosage des arbres diminuera progressivement et massivement. Leçon de choses aux Trois pigeons Le symbole sera beau et fort. Les enfants de l’accueil de loisirs se rendront prochainement aux Trois pigeons, là ou 145 arbres viennent d’être plantés. 145 arbres qui grandiront en même temps qu’eux. Ils découvriront cette jeune forêt qui va revitaliser une parcelle autrefois délaissée, la transformant en véritable éco-spot. Deux spécialistes viendront leur expliquer le cycle de l’eau et les sensibiliser à l’importance de la bidodiversité. Une leçon de choses sur le terrain.

DE L’EAU RÉCUPÉRÉE POUR ARROSER LES ARBRES

Les 146 jeunes arbres des Trois pigeons seront exclusivement arrosés d’eau de pluie récupérée sur place ainsi que sur des bâtiments municipaux.

Comment arroser les 146 arbres plantés aux Trois pigeons pendant les trois ou quatre premières années de leur vie ? Réponse : en récupérant de l’eau de pluie. Sur place, deux citernes pouvant stocker 20 m3 d’eau ont été installées ainsi qu’une structure souple, sous les citernes, pour récupérer les précipitations. Mais chaque arbre ayant besoin d’environ 80 litres par semaine, soit 11 m3 pour l’ensemble, cela ne suffira pas.

Une installation innovante

Il va donc également falloir récupérer de l’eau de pluie sur d’autres sites. 1 500m² des toits municipaux de la ville alimenteront, grâce à leurs gouttières, 12 citernes dont le contenu sera ensuite transporté en camion jusqu’aux Trois pigeons. Une pompe alimentée en énergie par des panneaux photovoltaïques assurera la distribution de l’eau au pied de chaque arbre. Le coût de cette installation innovante est en grande partie financé par le Département. A l’issue des trois premières années, la quantité d’eau pour l’arrosage des arbres diminuera progressivement et massivement.

Leçon de choses aux Trois pigeons

Le symbole sera beau et fort. Les enfants de l’accueil de loisirs se rendront prochainement aux Trois pigeons, là ou 145 arbres viennent d’être plantés. 145 arbres qui grandiront en même temps qu’eux. Ils découvriront cette jeune forêt qui va revitaliser une parcelle autrefois délaissée, la transformant en véritable éco-spot. Deux spécialistes viendront leur expliquer le cycle de l’eau et les sensibiliser à l’importance de la bidodiversité. Une leçon de choses sur le terrain